lundi 3 juin 2013

Only god forgives de Nicolas Winding Refn

Superbe. Dérangeant, bien sûr : violence primordiale, on pense au théâtre antique ou à Shakespeare (Médée, par exemple), à éclairer (s'il le faut) par le surréalisme (hommage à Jodorowski dans le générique) et la psychanalyse. Plongée aux tréfonds.Only god forgives